BROADWAYWORLD.COMBy: Patrick Honoré | May. 21, 2023

"The show is quite a trip, with the company members in multiple roles creating a hallucinatory experience for the audience as well, but the inclusion of simple but efficient choreography by Johan Nus brings some light relief to the complexity of the book by Raphaël Callandreau.."

INTERVIEW REGARD EN COULISSEPar Geoffroy de Dieuleveut | 18 mars 2022WEST SIDE STORY

INTERVIEW CASTING.FR

Entretien exclusif avec Johan Nus, le chorégraphe officiel de la comédie musicale Peter Pan!

Bonjour Johan Nus, vous êtes chorégraphe professionnel, comment devient-on chorégraphe ?
JN : On devient chorégraphe par l’envie de transmettre des émotions en mouvement au travers d’une histoire. Il faut aimer composer, structurer l’espace, créer ou combiner des mouvements tout en respectant les codes ou au contraire en les modifiant. Il faut aimer la danse et être capable de transmettre une vision à travers un ensemble de danseurs.

Être chorégraphe, cela implique nécessairement d'être soi-même danseur ou artiste pluridisciplinaire?
JN : Il est nécessaire d’avoir un parcours en danse et d’avoir étudier le mouvement ainsi que les différents courants. Être riche d’autres arts peut être un plus pour nourrir un ballet néanmoins la base reste la danse. Dans le cadre de la comédie musicale, savoir chanter aide à avoir une création plus organique pour les comédiens chanteurs.

Vous êtes le chorégraphe du spectacle PETER PAN, un spectacle pour enfants s'appréhende t-il différemment ?
JN : Je n’ai jamais fait de différence entre tel ou tel projet. La musique et l’histoire porte le mouvement. Je ne pense pas que parce que c’est un spectacle pour enfant, il faille simplifier le mouvement. Au contraire éduquons et transmettons la beauté du geste.

Quand on est chorégraphe on passe des castings ou on fait passer des castings plutôt ?
JN : Les 2. Nous sommes invités à présenter notre parcours et parfois à avoir une séance de travail avec le metteur en scène. Par la suite, les artistes sont choisis en accord avec l’équipe créative.

En quoi le métier de chorégraphe est-il différent du metteur en scène ?
JN : Le chorégraphe est au service du metteur en scène. Il est là pour répondre à un souhait au service du spectacle. Le chorégraphe n’est pas là pour montrer de quoi il est capable mais il est présent pour nourrir le visuel dans sa globalité.

Vous êtes chorégraphe sur de célèbres émissions de TV, le travail reste le même qu’au théâtre ?
JN : Ce n’est pas la même chose car nous travaillons avec le réalisateur et la production pour donner le rendu souhaité au service du visuel qui n’est pas éphémère. Il restera longtemps sur les différents sites média. Le mouvement doit être plus tonique car la caméra ralentit le mouvement. Nous composons avec les différents angles et surtout nous choisissons ce que le spectateur regardera.

Quelle est la rencontre la plus marquante de votre carrière ?

JN: Chaque rencontre est marquante lorsqu’elle se fait avec le cœur. J’ai de nombreux souvenirs mais je reste touché par ces moments de danse au Sénégal ou encore en Ukraine avec ces merveilleuses étoiles avec qui nous avons composé dans l’eau, un Lac des Cygnes. Je suis reconnaissant de chaque personne que j’ai pu croiser car elles ont nourri ma vision et au final ma danse.

Quels conseils donneriez-vous aux membres de Casting.fr, qui rêvent de devenir chorégraphe ?
JN : Je leur conseillerai de continuer à développer leur singularité, de s’enfermer dans des studios et de chercher encore et encore. De ne pas hésiter à montrer leur travail et d’accepter de se tromper. De ne pas tenir compte de tous les avis car c’est avant tout leur vision, leur danse et quelque part leur âme qu’il ouvre à l’autre.

INTERVIEW MAGCENTRE.FR17 mars 2022Interview chorégraphe Johan Nus sur sa création de WEST SIDE STORY pour la Fabrique Opéra à Orléans

INTERVIEW OUEST FRANCEMaÿlis DUDOUET | 18 JUILLET 2022


Johan Nus, le chorégraphe star derrière le musical Surcouf à Saint-Malo
Le chorégraphe français a travaillé sur des adaptations à succès de comédies musicales (West Side Story, Grease, La petite sirène) avant d’entraîner la troupe de la comédie musicale Surcouf : roi des corsaires, à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).

« Je suis demandé partout, mais jamais à la maison. » Pour Johan Nus, l’occasion était trop rare pour être vraie.
Après avoir composé des danses dans de grandes salles parisiennes (La petite sirène à L’Olympia, Tom Sawyer au Mogador) et à l’international (Magical Dream à Las Vegas, Madiba en Australie), ce lorrain d’origine, fraîchement installé à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), a sauté sur l’occasion.

« Je fais beaucoup de gros projets à l’international. Mais se poser dans une ville à côté de chez soi, c’est une vraie chance. »
Un chorégraphe « bienveillant » et « à l’écoute »
Le bras levé, Johan corrige les mouvements de danse de sa troupe, sous le plafond haut d’une salle de réception du Chateaubriand. Un moment suspendu, le temps d’adapter la salle du Grand-Large pour accueillir les dix-huit artistes triés sur le volet avec lesquels il travaille depuis de nombreuses années.
« Il est très à l’écoute et il stimule les artistes que nous sommes. Il prend le meilleur de chacun, nous donne une place à tous pour donner vie à l’histoire », s’enthousiasme Cédric Chupin, qui joue le rôle de Surcouf dans la comédie musicale.
Des compétences qui vont de pair avec sa « bienveillance », comme le décrit Ophélie De Cesare, danseuse qui l’assiste dans ses projets. « Il n’est jamais dans la colère, c’est quelqu’un de très calme. »

« J’aime la culture bretonne »
De quoi répondre aux ambitions communes de Johan et des créateurs Maëlle Le Tersec et Charles Tharaux. « C’est une comédie musicale à l’américaine, avec l’envie de raconter une vraie histoire », résume le chorégraphe.
Les discussions avec la metteuse en scène, Maëlle, sont perpétuelles : « Pour composer, j’écoute, et les images viennent. Puis je propose, et elle dispose. »
Pour ce directeur du département de danse de l’Académie internationale de comédie musicale (AICOM), les rues malouines rappellent ses premières vacances. « Je viens en Bretagne depuis l’âge de cinq ans. J’aime la culture bretonne, ses sons, ses danses. »

« Je sais que mon équipe est prête »
Pour autant, il refuse d’enfermer le spectacle dans un style unique. « La chorégraphie doit servir l’histoire, on ne danse pas pour ne rien raconter. Je me suis inspiré du classique, du hip-hop, mais aussi de danses traditionnelles et modern jazz. »

Un kaléidoscope de mouvements qu’il illustre au travers d’un casting très masculin. « C’est assez rare. Il fallait coller avec l’histoire de Surcouf et des corsaires. »
Cette énergie créatrice, il l’a insufflée lors du rythme effréné des entraînements. Au total, il leur a fallu quinze jours de répétitions intensives pour acquérir les gestes d’un spectacle d’1 h 45.

« Ils sont extrêmement courageux. Je ne suis pas inquiet et je sais que mon équipe est prête », commente le compositeur.
Son dernier prix en date ? Le Molière du meilleur spectacle musical, pour Est- ce que j’ai une gueule d’Arletty ? Johan prévient : « Je ne parie jamais sur une production qui ne revient pas. »

BROADWAYWORLD.COMBy: Patrick Honoré | Dec. 05, 2021

"Without ever copying the original choreography by Susan Stroman, Johan Nus does an excellent job with the help of Eva Tesiorowski, adding on a little more tapdancing than in the original! "

INTERVIEW L'EST RÉPUBLICAIN09 janvier 2016

Johan Nus a grandi à Laxou. Il a commencé la danse à l’âge de 5-6 ans à la salle Louis Pergaud du Village, le point de départ de sa carrière. En effet, il est aujourd'hui un chorégraphe reconnu et il a notamment travaillé sur des émissions telles " La Nouvelle Star », « La France a un incroyable talent » ou encore sur des spectacles comme "La petite sirène".

Quelles sont les plus importantes collaborations de votre carrière ?
J’ai la chance de rencontrer régulièrement beaucoup d’artistes reconnus dans mon environnement professionnel. Néanmoins je peux vous citer quelques noms de personnes qui comptent pour moi. Pierre Yves Duchesne actuellement dans « Cats » à Mogador m’a ouvert les portes de la comédie musicale. J’ai eu la chance d’être dirigé par lui sur « Grease le musical » ou encore « Anne Franck ». Je collabore également avec le brillant metteur en scène David Rozen. Cet hiver nous avions 5 shows à l’affiche à Paris « Kid Manoir 1 et 2 » au Palace, « La petite fille aux allumettes » au théâtre du gymnase, « Hansel et Gretel » ainsi que « Aladin » au théâtre Comédia. J’ai la chance également de partager de nombreuses créations avec Olivier Bénézech. J’ai chorégraphié sa dernière comédie musicale « Sweeney Todd » à l’Opéra de Reims. Je travaille également beaucoup avec Alex Goude ; nous avions dernièrement Marion Game  (célèbre notamment pour son rôle dans « scène de ménage » sur M6)  pour notre pièce « Tous des malades » qui s’est jouée au Palais des glaces.

Vous avez eu votre nom sur l'Olympia pour le spectacle "La petite sirène". Comment ont réagi vos proches ?
J’imagine qu’ils ont du être fier de moi, mes amis de toujours comme mes parents. Après je dois avouer que mes parents possèdent une certaine pudeur et extériorisent peu leurs affects. J’imagine que ce n’est pas toujours rassurant de voir son enfant évoluer dans ce métier. Ils en connaissent les paillettes mais également les revers. Tout peu s’arrêter du jour au lendemain. Pour l’anecdote, ils me questionnent plus souvent sur le pays dans lequel je me trouve, que l’émission ou la pièce que je suis en train de créer. Après, je pense qu’inconsciemment je fais tout cela pour qu’ils soient fiers de moi. Personnellement, quand j’ai vu mon nom sur la façade de l’Olympia, j’ai évidemment pensé à mes parents mais principalement à mon grand père qui était éclairagiste au grand théâtre de Nancy. Je pense qu’il aurait été très ému…

Est-ce que vous revenez souvent à Laxou ?
Laxou est extrêmement important pour moi : j’ai dansé dès l’âge de 5 ans aux fêtes de mon village ; j’y ai été enfant de chœur pendant de nombreuses années, et j’ai suivi ma scolarité à l’école Louis Pergaud. Peu importe ce que l’on fait et qui on devient il est important pour moi de ne pas oublier ses origines, ses racines. Ma terre est à Laxou. Je reviens m’y ressourcer dès que j’en ressens le besoin.

Quels sont vos projets ?
Dans quelques jours sort « Madiba » au Théâtre Comédia. J’ai la chance de chorégraphier, le 1er musical sur Nelson Mandela à Paris. C’est une magnifique histoire qui parle d’amour mais surtout de tolérance. Suivra un autre musical qui lui aussi lance un message fort : « Timéo » ; il sortira début septembre au Casino de Paris. Ce show traite le thème du handicap d’un point de vue positif, via la passion et le rêve ; il est mis en scène par Alex Goude. Je vous le recommande ! (http://www.timeo-lespectacle.com) Je souhaite également prendre du temps pour ma compagnie de danse et de créations contemporaines : « Talent d’Argile », qui je l’espère pourra venir se produire dans ma ville natale.Johan Nus a grandi à Laxou. Il a commencé la danse à l’âge de 5-6 ans à la salle Louis Pergaud du Village, le point de départ de sa carrière. En effet, il est aujourd'hui un chorégraphe reconnu et il a notamment travaillé sur des émissions telles " La Nouvelle Star », « La France a un incroyable talent » ou encore sur des spectacles comme "La petite sirène".

INTERVIEW REGARD EN COULISSE 30 décembre 2015

Johan Nus : un artiste aux multiples casquettes

Johan Nus, présentez-nous votre parcours. Comment vous est venue votre passion pour la comédie musicale ?
Après un parcours universitaire avec obtention d’une Maîtrise d’Économie à Nancy 2, un diplôme d’état en danse classique au CNR et au CREPS de Lorraine puis des études en danse contemporaine au CND de Lyon, j’ai intégré la troupe de Blanche Neige aux Folies Bergère, comédie musicale mise en scène par Jean-Luc Moreau. Dès lors, j’ai eu l’opportunité de participer en tant qu’interprète à de nombreux musicals : Un Violon sur le toit , Grease… puis l’envie de chorégraphier est venue naturellement et l’on m’a fait confiance sur des projets tels que Kid Manoir, La petite fille aux allumettes, Aladin, Sauna, Gutenberg ou encore Sweeney Todd. En parallèle de mon travail sur les scènes parisiennes, j’ai chorégraphié différentes émissions en France telles que : « Nouvelle Star », « La France a un Incroyable Talent », « Famous Dance », « À la recherche de… », mais également à l’international : « X Factor », « Arab Got Talent », « Arab Idol ».
Ma première rencontre avec le monde de la comédie musicale a eu lieu en 1994, au Théâtre Mogador, avec Starmania ; j’ai alors pris conscience de l’importance des autres arts pour venir nourrir et enrichir ma danse. J’ai pris le temps de multiplier les voyages à Londres et à New York pour aller étudier et applaudir de nombreux musicals.

Comment abordez-vous le travail de chorégraphe ?
Dans le cadre d’un musical, la chorégraphie doit, selon moi, toujours nourrir une situation. Le mouvement ne doit pas être gratuit ; la danse doit être au service de l’histoire, correspondre à l’humeur du numéro. La chorégraphie est en effet guidée par la mise en scène ; le metteur en scène me donne un cadre — temps, lieu, espace — avec lequel je dois composer. Je prends également soin du texte et du chant ; je ne dissocie jamais le chant – qui fait voyager le souffle à travers le corps — de la danse. Avant de penser aux mouvements, j’écoute pendant plusieurs jours les maquettes. Je prends le temps de discuter avec le metteur en scène pour lui proposer une esthétique du numéro mais aussi avec le compositeur pour les tempi, les contre-chants, les élans.
Puis, je m’enferme dans un studio et je teste différentes voies… jusqu’à trouver la meilleure. Suit alors le travail avec les artistes ; le squelette esquissé lors de mon travail préparatoire prends alors corps, s’incarne progressivement. Puis, tel un père avec son enfant, j’accompagne son chemin ; je le guide pour le faire grandir.

Parlez-nous de votre collaboration avec Alex Goude sur le spectacle Timéo. Quels sont les challenges ??
Il y a quelques années déjà que je côtoie Alex Goude, par le biais de la télévision mais également du théâtre. Il m’a confié le travail chorégraphique sur certaines de ses pièces, notamment Tous des Malades qui s’est joué au Palais des Glaces. Lorsqu’ Alex m’a parlé pour la première fois du projet Timéo, j’ai trouvé cela totalement fou ; en effet, comment trouver des Circassiens capables à la fois de jouer la comédie, chanter et performer ?! Bruno Berberes a réussi ce challenge via un incroyable casting, grâce auquel nous avons pu, Alex et moi, continuer à nous projeter dans ce musical en construisant chaque numéro. Alex est attentif au fait que chaque numéro, chaque visuel soit unique, et que tous les performers soient capables de chanter et danser en même temps ; son imagination ne s’arrête jamais et il demande toujours l’impossible aux équipes avec lesquelles il travaille. Techniquement, ce show est sans doute l’un des plus complexes que je me suis vu confier ; et pour moi qui ai le souci d’utiliser l’ensemble de l’espace scénique, je suis servi car, sur scène, nous avons de l’aérien, des rampes de skate, des mâts, des trampolines. Nous dessinons ensemble la routine de chacun de nos artistes. La danse se retrouve alors à la fois dans la performance et dans les prises d’espaces. Nous avons fait par exemple un important travail sur l’expression animale, pour que nos artistes puissent incarner des tigres. Ce fut ma première expérience, assis dans un fauteuil roulant : chercher à comprendre et trouver comment évoluer, danser avec. L’écriture de ce show est très proche des numéros télévisuels dans leur construction tant les moyens mis en place sont importants ; le challenge est donc de ne pas perdre l’essence du musical et de son histoire ; en effet, Timéo doit nous conter l’histoire d’un jeune garçon qui souhaite réaliser son rêve ; ce ne doit pas être une banale succession de numéros. Nous avons la chance, grâce à la production, d’avoir pu commencer la formation de nos artistes un an en amont ; mais le rythme de travail est soutenu afin que chacun soit parfaitement prêt dans cette triple compétence artistique attendue. Un autre challenge personnel : c’est de répondre aux attentes de nos deux Timéo, Matthias et Benjamin : «Faire de ces moments de scène, un véritable rêve ».

Vous chorégraphiez en ce moment le spectacle Madiba, en hommage à Nelson Mandela, prochainement au Théâtre le Comédia. Quelle a été votre démarche pour créer les chorégraphies de ce musical ? Quelles recherches avez vous effectuées pour cela ?
Madiba, tout comme Timéo ou encore Un Violon sur le Toit, dont je m’occupe également en ce moment, sont trois spectacles porteurs d’un message fort. Chacun d’eux possède sa propre esthétique. En ce qui concerne Madiba, il était important pour moi de trouver tout d’abord une couleur africaine au mouvement ; je me suis pour cela beaucoup documenté puis entouré de fabuleux danseurs qui possèdent cette couleur et ses résonances dans leur corps. J’ai souhaité que chaque tableau chorégraphié dans ce show fasse appel à une base technique différente ; c’est pourquoi vous allez y déceler différents codes : base classique, contemporaine, moderne, africaine… J’ai effectué beaucoup de recherches sur l’esthétique des danses sud-africaines car elles ne possèdent pas les mêmes rythmes, ni les mêmes accents. J’ai fait, en concertation avec la production, le choix d’avoir des séquences très dansées ; pour cela, nous nous sommes entourés d’excellents danseurs, qui se sont révélés être également de très bons chanteurs. J’ai tenu également à introduire des objets triviaux, de la vie quotidienne, dans certaines chorégraphies pour leur donner davantage de sens, les ancrer au sein de l’ensemble du show. Dans « Soweto », j’utilise par exemple des chaises, celles que l’on peut retrouver dans les rues de villages africains, devant chaque maison ; dans « La couleur de ta peau », des bancs de jardins publics servent d’appuis aux danseurs. Pour Nelson Mandela, la danse était importante ; c’est la raison pour laquelle la chorégraphie a une place d’honneur dans ce show qui rend hommage à la liberté : des hommes, des mouvement… de la vie !

Quels sont vos prochains projets ?
Madiba, tout comme Timéo ou encore Un Violon sur le Toit, dont je m’occupe également en ce moment, sont trois spectacles porteurs d’un message fort. Chacun d’eux possède sa propre Pour le moment, je mets beaucoup d’énergie dans la réussite de ces projets en cours. Je devrais ensuite, courant mars, intégrer un nouvelle production pour un montage de La Mélodie du Bonheur, en Belgique ; et d’autres shows m’attendent à l’international. Mais j’ai également le souhait de consacrer du temps à ma compagnie « Talent d’Argile », ici en France.